Dans le suite de mon premier post sur le bénevolat en réponse au post de mohamed ali, je presente ici mes avis sur les bénévoles en Tunisie aprés avoir traité de la question de la contre-partie des activités bénévoles.
Courant cet article, je vais essayer d'apporter des élémnts de réponse à la question de mohamed Ali "- Croyez vous que le bénévolat concerne uniquement une catégorie de gens ?"
Je vais prendre le mot "catégorie" au sens large du terme. Pour répondre oui le bénévolat concerne une catégorie des gens : ceux qui veulent le faire sans chercher une contre-partie matérielle direct et/ou immédiate.
A part ca, je ne trouve pas une autre catégorie qui peut faire du bénévolat? L'age, le sexe, le niveau intellectuel, le niveau d'instructions, le niveau matériel .... ce ne sont que pour faire plaisie aux staticiens et autres marketeurs. Parce que ceux qui font le bénévolat est un peu de tout ce monde.
Il y a les étudiants qui sont sensibles à une question particuliére, les personnes sensibles à une question particuliére (environnement, assistance à l'enfance, lutte contre le sida, les handicapés, équipes sportives, logiciels libres...), les cadres qui ont besoin d'un changement de vie pour fuire le stress au boulot, les retraités.... tout ce monde represente une même catégorie.
Mais où se positionne cette catégorie dans la masse tunisienne? Est-ce qu'elle a changé avec le temps?
Selon mes observations, le bénévole tunisien s'oriente d'avantage vers l'activité de contact ou de defoulement (surtout pour les jeunes), il est plus sensible à des thémathiques palpables comme l'aide aux handicapés ou pour l'organisation d'une dakhla d'un derby que pour sensibiliser contre le tabac, le sida ou le rechauffement climatique.
En terme de nombre de bénévoles peut etre le nombre n'a que modéremnt variés par rapport à l'activité des bénévoles tunisiens (ce ne sont pas des statistiques j'ai fait un échantillonage à la fois amusant et bêteà la fois amusant et bête de mon entourage ). L'activité de bénévole intéresse moins les lycéens plus impliqués dans leurs études et pris par leurs cours particuliers et leur passe temps ils le passent devant la télé ou le PC. Mais elle implique d'avantage les étudiants en quête d'activité extra-universitaire puisque il n'y a plus de politique à faire dans les universités (il n'y a plus de gauche ni de courant islmiste de nos jours dans les universités).
Maintenant une autre question qui se pose à propos d'une certaine catégories des bénévoles ? Ceux qui instrumantalisent le bénévolat. Je cite par exemple l'Association BASMA, l'association Tunisienne d'Internet et de Multimédia, certainement y en a d'autres, gens qui utilisent le bénévolat pour reccuillir une contre-partie matérielle et immédiate.
Je pense que dans le bénevolat tunisien plusieurs personnes profitent d'une rente de situation aussi, je parle des personnes qui sont pendant 30 ou 40 ans présidents et secreatire general d'une association avec le temps -même si ces personnes ont la bonne volenté- détourne les associations à leur profit et les prends en otages. Les associations deviennent alors un instrument pour réaliser des objectifs personnels (sans toucher aux objectifs de l'association).
Mais ca n'empeche que à mon avis, Une grande partie des personnes qui travaillent dans le bénévolat le vont par conviction personnelle.
lundi 26 novembre 2007
jeudi 22 novembre 2007
Le bénévolat en Tunisie, un simple avis
Ce Post est une réponse au message posté sur le blog humanitaire sous le titre "Le bénévolat en Tunisie : votre point de vue nous intéresse" Je participe avec mon point de vue.
Je vais parler du benevolat un domaine plus proche de mon experience que l'humanitaire et parce que l'humanitaire n'est pas toujours bénévole.
Personnellement, je fais le bénévolat dans la promotion de la culture scientifique chez les jeunes, la vulgarisation, la promotion des logiciels libres. J'ai participé dans ce cadre des actions d'intégration humaintaire ausii dont l'une en 1996 avec des jeunes handicapés, des jeunes issues de la troisiéme génération d'immigrés et des jeunes lycéens tunisiens.
Je souhaite parler de 3 principaux axes:
- Les associations bénévoles.
- Les bénévoles en Tunisie.
- La contre-partie du travail bénévole.
Je vais commencer par le troisiéme point qui me parait trés important. Oui il y a une contre-partie du travail bénévole et c'est elle qui motive ce travail même. Cette contre-partie n'est pas pécuniaire mais elle est sous forme de reseaux de relations, d'experiences accumulées, d'estime de soi, d'utilité publique. Et je peux vous dire que l'experience qu'on peut tirer des experiences benevoles est égal sinon superieur à ce que on peut apprendre d'une experience professionelle.
Vous avez fait du benevolat sans rien gagner ? Oui, si vous avez triché dans l'effort vous ne serez pas recompensé. Le bénévolat récompense à hauteur de l'effort et à sa maniére. En régle géneral, il nous fait apprendre plus que nous esperons et il nous faut aussi un peu d'effort pour réaliser ce que nous avons acquis comme nouvelle compétence ou nouveau réseau. Parfois, la contre-partie est la réussite des autres, la joie des autres, leurs respects ou leurs amours. Mais en faisant le bénévolat attendons-nous un gain immédiat?
Plusieurs fois des personnes se demandent qu'est ce qu'ils gagneront d'une telle ou telle action? Ma réponse est simple : rien, si on est pas conscient de ce que vous apportera une action bénévole inutile de la faire, d'autres personnes viendront pour la faire et ils profiteront.
Je consacrearai deux articles aux deux autres points à savoir:
- Les associations bénévoles.
- Les bénévoles en Tunisie.
Je vais parler du benevolat un domaine plus proche de mon experience que l'humanitaire et parce que l'humanitaire n'est pas toujours bénévole.
Personnellement, je fais le bénévolat dans la promotion de la culture scientifique chez les jeunes, la vulgarisation, la promotion des logiciels libres. J'ai participé dans ce cadre des actions d'intégration humaintaire ausii dont l'une en 1996 avec des jeunes handicapés, des jeunes issues de la troisiéme génération d'immigrés et des jeunes lycéens tunisiens.
Je souhaite parler de 3 principaux axes:
- Les associations bénévoles.
- Les bénévoles en Tunisie.
- La contre-partie du travail bénévole.
Je vais commencer par le troisiéme point qui me parait trés important. Oui il y a une contre-partie du travail bénévole et c'est elle qui motive ce travail même. Cette contre-partie n'est pas pécuniaire mais elle est sous forme de reseaux de relations, d'experiences accumulées, d'estime de soi, d'utilité publique. Et je peux vous dire que l'experience qu'on peut tirer des experiences benevoles est égal sinon superieur à ce que on peut apprendre d'une experience professionelle.
Vous avez fait du benevolat sans rien gagner ? Oui, si vous avez triché dans l'effort vous ne serez pas recompensé. Le bénévolat récompense à hauteur de l'effort et à sa maniére. En régle géneral, il nous fait apprendre plus que nous esperons et il nous faut aussi un peu d'effort pour réaliser ce que nous avons acquis comme nouvelle compétence ou nouveau réseau. Parfois, la contre-partie est la réussite des autres, la joie des autres, leurs respects ou leurs amours. Mais en faisant le bénévolat attendons-nous un gain immédiat?
Plusieurs fois des personnes se demandent qu'est ce qu'ils gagneront d'une telle ou telle action? Ma réponse est simple : rien, si on est pas conscient de ce que vous apportera une action bénévole inutile de la faire, d'autres personnes viendront pour la faire et ils profiteront.
Je consacrearai deux articles aux deux autres points à savoir:
- Les associations bénévoles.
- Les bénévoles en Tunisie.
Lemmere: Merci, on connait maintenant nos limites.
Oui, Monsieur Lemere nous a montré nos limites, à vrai dire je ne me souviens pas d'un match aussi médiocre de l'équipe de Tunisie depuis tunisie-cameron en 1988 (qualification pour coupe de monde) ou tunisie-algerie à el menzah 1-4 en 1984. Si dans ces deux matchs les équipes adverses étaient visiblement plus fort la cameroun de italia 90 et l'algerie de Manad, Majer, belloumi et ... celui d'hier (21/11/2007) était contre un équipe aussi faible que nous.
Hier, Lemmere nous a montré qu'on peut atteindre la limite de la médiocrité seuls sans l'aide de personnes. on a atteint une possession de balle de 37% contre l'autriche on n'a pas arrivé à ce niveau même devant l'argentine ou l'espagne. ca veut dire que sur le un tiers de temps on touchait pas le ballon. c'est rassurant.
Avec un dispositif en 4-5-1 avec de la Public relation dans le milieu de terrain (faire jouer mnari et nafti ensemble) alors que ce sont deux joueurs qui jouent en milieux centraux et qui ont le même reflexe et ne sont pas complementaires .... et donc crée des bréches ailleurs où ils ne sont pas.
Avec des latéraux dépassés: un bekri égal à lui même (c'est à dire nul) et un ben Fraj méconaissable, derriere le pauvre jommaa au fur et au moulin et un Zaiem trés lent pour pouvoir combiner rapidement avec des joueurs ou se retrouver en deuxieme poteaux pour recuperer un ballon et créer immédiatement le danger.
Un santos, je peux rien dire.
Donc pendant 75 minutes, nous avons la pire équipe de Tunisie possible où seules satisfactions jomma, hagui et balbouli. Puis fut les entrée successives des joueurs tunisiens en particulier chermiti et Zouaghi qui donna plus de variation aux manoeuvres de l'équipe et plus de possibilité offensives et etrangement defensives.
Pendant 75 minutes on a vu le pire, maintenant qq soit l'équipe rentrante en coupe d'afrique et à moins qu'elle soit substantiellement differente de cette équipe on peut gagner quelques matchs en coupe d'afrique.
P.S: Ma conclusion tient si lemerre n'intégre pas des joueurs iluminé comme sofiéne melliti, slim ben achour, karim sediri, karim sediri parce que avec des jouers pareils en équipe à la place de respectivement de belaid, jomaa, zaiem, hagui on risque de voir une équipe extraordianirement mauvaise.
Hier, Lemmere nous a montré qu'on peut atteindre la limite de la médiocrité seuls sans l'aide de personnes. on a atteint une possession de balle de 37% contre l'autriche on n'a pas arrivé à ce niveau même devant l'argentine ou l'espagne. ca veut dire que sur le un tiers de temps on touchait pas le ballon. c'est rassurant.
Avec un dispositif en 4-5-1 avec de la Public relation dans le milieu de terrain (faire jouer mnari et nafti ensemble) alors que ce sont deux joueurs qui jouent en milieux centraux et qui ont le même reflexe et ne sont pas complementaires .... et donc crée des bréches ailleurs où ils ne sont pas.
Avec des latéraux dépassés: un bekri égal à lui même (c'est à dire nul) et un ben Fraj méconaissable, derriere le pauvre jommaa au fur et au moulin et un Zaiem trés lent pour pouvoir combiner rapidement avec des joueurs ou se retrouver en deuxieme poteaux pour recuperer un ballon et créer immédiatement le danger.
Un santos, je peux rien dire.
Donc pendant 75 minutes, nous avons la pire équipe de Tunisie possible où seules satisfactions jomma, hagui et balbouli. Puis fut les entrée successives des joueurs tunisiens en particulier chermiti et Zouaghi qui donna plus de variation aux manoeuvres de l'équipe et plus de possibilité offensives et etrangement defensives.
Pendant 75 minutes on a vu le pire, maintenant qq soit l'équipe rentrante en coupe d'afrique et à moins qu'elle soit substantiellement differente de cette équipe on peut gagner quelques matchs en coupe d'afrique.
P.S: Ma conclusion tient si lemerre n'intégre pas des joueurs iluminé comme sofiéne melliti, slim ben achour, karim sediri, karim sediri parce que avec des jouers pareils en équipe à la place de respectivement de belaid, jomaa, zaiem, hagui on risque de voir une équipe extraordianirement mauvaise.
تقرؤون غدا
تقرؤون غدا هو إسم برنامج يعرض على قناة تونس 7 الفضائية. يستعرض هذا البرنامج على الساعة 20 محتوى الصحف التي ستصدر في اليوم الموالي. سأترك لقارئي مدونتي الكرام استخلاص الملاحظات و الرؤى على ما يعنيه بث معرض الصحف قبل أن تعرض تلك الصحف.
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