lundi 29 octobre 2007

SFD 2007

C'est enfin fini avec la plus belle maniére. Les Software Free Day 2007, une journée de la promtion des logiciels libres qui a eu lieu à la cité des sciences de Tunis. Organisé par les clubs universitaires de logiciels libres, coordonnées par la DFSA et son vice-president trés dynamqiue Mossab Ben AMMAR.

Je souhaite remercier tous ceux qui ont aidé à l'organisation de ses journées, les étudiants, les professionels, et les sympathisants. J'ai une pensé particuliére aux conferenciers Tarek Abd Rabou, Hatem Zidi, Karim Ben Abdallah, Majdi Ayari et Hatem Ben hessine pour leurs apports, disponibilités et tout l'effort fourni à longueur de journée.

Je félicite aussi ceux qui ont contribué et qui ont été recompensé ou non en particulier à TunisiaForge, FreeSoftCOm et à Wathek EL Oued.

Il faut se lancer dans d'autres defis et organiser d'autres journées.

Travailler quand on veut

c'est au bresil; c'est ce qui ressort de l'article que j'ai lu sur yahoo j'adhere au principe de l'article ca donne une vision autre à la relation employeur-employé. Néanmoins, j'avoue que c'est un cas particulier que je pense que c'est un peu difficile de le generaliser parce que ce genre de relation demande un niveau de responsabilité un peu elevé de la part des employés et employeurs.

Je ne songe pas penser qu'il sera realisable dans notre cher pays, c'est de l'utopie.

lundi 22 octobre 2007

ECIG 2007: la distance est assez importante

J'ai eu la chance le week end dernier d'assister à un séminaire scientifique intitulé E-Commerce et Gouvernance d'Internet.
Autant que j'etais heureux de la réussite tunisienne à l'organisation avec un Amir Omniprésent, un Mondher trés disponible, Fairouz (comment elle fait pour rester toujours souriante?), j'étais un peu deçu de la participation scientifique tunisienne.

Y a d'abord, une légerté dans le contenu et surtout, un manque de responsabilité.

Sur le point de responsabilité, la majorité des tunisiens thésards étaient invités (sans payer de frais d'inscription de 400€) et devaient juste se débrouiller pour trouver un logement pendant une nuitée à sousse (30-40DT la nuité dans un 3*), ils ont débarqué, pris les cartables, dejeuné puis parti dés le premier jours sans assister à aucune session pour certains. !!

Sur le point de contenu, nous avons aperçu une certaine légerté dans les articles sur le point pratique surtout. Et ce en matière empirique. Je cite des exemples, un article sur la banque à distance en Tunisie qui prends en compte 1300 transactions uniquement !! qui conclu que 30% des virements se font en 1000s ? quels enseignements?. Un autre article qui traite des labels de confiance : fait une étude sur un public tunisien avec un label français et un site marchand français. Le comble est que ses chercheurs tunisiens ignorent l'existence d'un label tunisien et l'existence de site marchand tunisien (même s'il ne sont pas nombreux).

Il y a des satisfactions sur le plan scientifique tunisien aussi en l'occurrence achraf ayadi (quelle vista et quelle classe ) vraiment chapeau ca nous rend fiére, Mona Khedhiri élu meilleur jeune chercheuse, adnene ben Chaabane (DSI de la BIAT) qui a une connaissance parfaite des dossiers de e-banking et qui a permit l'élévation de la discussion par opposé au représentant de la BCT.

Il y a un autre point de déception l'absence des partenaires tunisiens à la manifestation faculté de sfax, université de sousse (le recteur n'était pas présent alors qu'il a été convenu que c'est lui qui présidera la cérémonie de clôture), l'ISOC Tunisie ou aucun membre ne la representait alors qu'elle était avancé comme partenaire.

J'espére que la prochaine édition se tiendera aussi à Tunis, il y a un apport certain au pays. Je reviendrai dans d'autres articles sur les sessions où j'ai assisté.

mercredi 17 octobre 2007

NAHDI et BEN YAGHLAN : La culture basse

J'étais parmi les malheureux qui se sont retrouvé, hier le 16 octobre, devant la télé pour regarder (sans le programmer en plus) une émission de samir Wafi où fut invité Lamine Nahdi et Raouef Ben Yaghlan. Pour quelques minutes, j'ai eu l'idée bête (comme d'habitude) de regarder en me disant ca peut nous renseigner sur la situation culturelle en Tunisie ou sur leurs projets sur leurs visions du theatre, sur n'importe quel sujet qui peut etre util et interessant pour les malheureux qui se sont retrouvés devant la télé comme moi.

Et j'ai eu un spectacle extraordinaire, deux imbeciles impolis (c'est le minimum pour ne pas tomber dans la crualité) qui hurlaient et se coupaient la parole pour ne rien d'autres ou dire des trucs vides de sens. Ils ont trouvé dans samir Wafi un bon catalyseur pour leur medicrité, tirant comme à son accoutumé le débat vers le bas autant qu'il peut. Les deux invités ne se sont pas empeché de le suivre et descendre au fond.

ça donne une idée sur notre culture et sur les hommes de cultures.

Je souhaite que cette emission entre dans le hit parade d'octobre des emissions boudourou (voir bousourdi si possible) parce que plus nul que ça c'est grave on risque notre vie.

Comme d'habitude, j'ai vaincu mes idées bêtes et j'ai zappé.

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