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lundi 19 septembre 2011

Parti politique : avez vous une idée sur l'inflation?

C'est une question basique et normalement elle doit préoccuper tout un chacun de nous, politicien ou non. Elle concerne d'abord le chef de famille, c'est la cherté de la vie ou le pouvoir d'achat.

Tout d'abord, l'inflation est un résultat et aucune mesure concrète ne permet de la réduire rapidement. Par contre, les gaffes et les mauvaises décisions peuvent la faire monter rapidement.

Dans notre cas, pour la Tunisie et en vue de l'élection de la constituante, les programmes des partis politiques sont porteurs d'inflation.

L'année 2012 sera une année de croissance exceptionnelle et aucun parti de gauche ou de droite ou de ciel n'aura le moindre mérite parce que après une récession comme cette année on ne peut que rebondir surtout avec la normalisation de la situation en Libye. La raison est tout simple est que le tunisien moyen va bosser pour faire vivre sa famille.
Mais avec des programmes économiques qui promettent des monts et des merveilles au tunisien moyen en vue des élections, il y'a de quoi s'inquiéter sur la capacité de ce même tunisien de gagner sa vie convenablement.
Un ensemble de proposition -utopiste et populiste- d'un parti illustre parfaitement mes propos. Ce parti recommande un ensemble de mesures:
- Augmenter le SMIG à 400 DT. Il est aujourd'hui de 240 dt pour régime 48h.
- Réduire de 5% le plafond de l'IS.
- Augmenter la tranche non-imposable des revenus (IRPP) de 1500 à 3500 DT et améngager les tranches.
- Une batterie interminable de mesures et propositions qui engagent des dépenses de l'État. 

Ce parti parle aussi de deux notins novatrices:
- La gestion de la politique monétaire par l'État et l'indépendance de la banque centrale : si vous avez trouvé une contradiction ce n'est pas grave.
- Ce parti parle de civisme fiscal: une notion abstraite non chiffrable et nécessitant des années à mettre en place (tient la Grèce est un bon exemple).

Alors on aura quoi ? des dépenses qui augmentent et des recettes qui baissent et un déficit qui se creusent : on relance la consommation (et une autre notion abstraite consommer tunisien) mais par quoi ? par le déficit et par la planche à billet on génère l'inflation puisque on aura une banque centrale indépendante qui ne gère pas la politique monétaire :p

Augmenter le SMIG (du surcroit avec cette proportion) c'est excellent ca permet à plusieurs personnes qui vivent dans des conditions difficiles de respirer ca va augmenter de 60% leurs salaires ... magnifique  ... sauf que ces gens là et les personnes les plus vulnérables vont se retrouver sans travail et sans salaire puisque des sociétés entières de textiles ou autres qui se basent sur du personnel non-qualifié vont mettre la clé sous la paillasson. Le business devient non-rentable.
Est-ce que l'Etat va payer les gardiens à ce SMIG ? les femmes de ménage à ce SMIG ? Aucun ministre de finance -respectable- ne dira oui même si c'est Hamma Hammami, c'est intenable sur une projection de quelques mois et non pas de quelques années. ça pourrait néanmoins, attirer quelques électeurs de plus.

Relancer la consommation par l'augmentation du revenu national disponible est une idée que je salue mais c'est sa proportion et son efficacité que je met en doute. Augmenter le salaire de presque 200 dt par mois, ne s'appliquera qu'aux fonctionnaires de l'État et aux sociétés régies par des conventions collectives. La majorité des tunisiens négocie les salaires au NET et la mesure profitera globalement aux Entreprises si ce n'est pas totalement. L'État perdra une partie des recettes sans pour autant avoir un impact positif sur la sphère réelle.
Les deux dernières mesures ne sont pas équivalentes puisque aujourd'hui les personnes payés au SMIG sont exonérés de l'IRPP.

Augmenter le revenu disponible d'une façon monétaire et sans aucun fondement de création de valeur ne mène qu'à l'inflation. Même si sur le programme de ce parti, des idées sont bonnes surtout en matière de Santé, la majorité des propositions véhiculent l'idée d'un interventionnisme de l'État et des dépenses publiques.  Un déficit budgétaire est toujours source d'inflation et donc de réduction de pouvoir d'achat. Augmenter de 60% le salaire nominal et l'annuler par l'inflation créera des illusions temporaires mais ne mènera à rien.

Ce parti n'est que l'UPR, qui m'a déçu par son programme populiste mais aussi par la réaction de certains de ses responsables qui sont allergiques aux critiques. J'ai promis ma réponse et là voila pour démontrer l'inefficacité et le populisme d'une partie de leurs propositions.

Cet exercice pénible peut s'appliquer aux mesures proposées par d'autres partis comme Ennahdha ou FTDL avec le nombre d'emploi proposé dans le privé ou dans le public et les mesures de relance. Avec une position dogmatique contre la dette et des répliques populistes -comme la comparaison avec la Grèce ou les propos souverainistes - ils n'auront pas les moyens d'honorer leurs engagements.

Le Salut de ce pays viendra du travail de ses enfants et non pas de la démagogie des politiciens. Nous serons peut être aidé par un pays comme la Libye, qui en se stabilisant peut nous offrir un marché d'exportation de produits et services qui relancera notre économie et qui pourra absorber une partie de notre chômage. Le reste n'est que des promesses qui ne seront jamais tenues. Lors de la constituante personne ne gouvernera, personne n'aura assez de poids pour réaliser le programme pour lequel il est élu.

l'UPR en particulier devra penser à trouver comment rembourser les 50% de la subvention.

dimanche 18 septembre 2011

Ma Short-list en vue de la constituante

Ma short-list pour l'élection est faite et il me reste qu'établir l'ordre. Et d'ici le 23 octobre le matin, je dois faire mon choix.
Ceux qui me connaissent s'étonneront autant que moi à la lecture de cette short-list.
Je voterai comme toujours à Tunis 1, une circonscription dure et complexe. pour cette élection, le choix est plus simple et plus compliqué à la fois.
En temps normal, j'aurais voté pour un parti libéral: le PLT, PLM, PRL, ... mais aucun d'eux n'a retenu mon attention et aucun d'eux n'a de chance d'avoir un tabouret sur Tunis 1.
Après, je me suis intéressé au PDP, Afek et surtout à l'UPR de Lotfi Maraihi, Afek me parait très light et PDP très RCD (il peut avoir 30 places ou plus mais ca sera sans mon bulletin). UPR, je l'ai éliminé hier, j'ai lu leur programme il est populiste, et utopique c'est le genre de programme qui en le mettant en place on aura une croissance de 10% mais un déficit budgétaire de 10% et une inflation de 10%: augmenter les dépenses sociales et baisser la fiscalité est une solution très populaire mais qui payera à la fin ?
Donc Dégage UPR.
Après moule réflexion, j'ai vu que le point commun des programmes des partis politiques, c'est la baisse de la fiscalité et l'augmentation des dépenses sociales donc ils sont défaillants. Ils sont populistes et irréalistes : 590.000 emplois par Ennahdha en 4 ans (comme les 300000 de ben Ali), les 100.000 dans l'administration publique de FTDL. L'un ou l'autre vont mener le pays à la faillite.
Le programme économique ne pourra pas être un différenciateur de choix (malgré que c'était le critère pour moi), il faut avoir d'autres critères. Et à ce moment, j'ai changé de logique, je vais voter pour une constituante qui va écrire une loi fondatrice qui devra nous gouverner pour au moins jusqu'à ma retraite (dans 30 ans), et compte tenu du nombre de listes candidates et la dilution des votes que je prévois, ce vote ressemblerai à un vote sur tête de liste et donc à qui faire confiance.

Subitement le choix, s'est simplifié en regardant les têtes de listes des différents partis et listes indépendantes j'ai gardé 3 Samir Bettaieb (PDM), Le juge Mokhtar Yahyaoui, et L'avocat AbdelAziz Mzoughi.

Un choix étonnant pour un Ultra-liberal convaincu (capitaliste extrémiste disait Sabri) de choisir trois personnalités de gauche pour son vote.

D'abord comment j'ai arrivé là, en temps normal j'aurais voté Cheikhrouhou économiste respectable et ouvert mais il est tête de liste de PDP, donc NON.
Je ne voterai pas bien évidemment POCT, ENNAHDHA, WATAD, BAATH, et tous les partis semblables pour des raisons idéologiques.

Je ne voterai pas ex-RCD, je n'ai pas voté pour eux avant donc pourquoi j'y voterai pour eux aujourd'hui. Je ne voterai pas Mongi Kaabi pour deux raisons : un ex-RCD et sur la liste de Mourou.

Il reste Ben Jaafar et CPR. Ben Jaafar est un incapable et il n'a pas de couille, il attend que tout le monde prenne une position pour prendre la position qui va avec l'opinion publique : les indécis vont voter Ben JAAFAR et son parti.
Le CPR, avec son candidat sur Tunis 1 Samir Ben Amor, est un parti qui ressemble plus à l'association des amis de MArzouki (comme l'Association des Amis de Oiseaux -- Mourad tu rigoleras--) qu'à un parti politique bien constitué. Ils ont des positions farfelues et tiraillés entre le courant pro-nationaliste arabe de Marzouki et Abou et le courant des conservateurs (je n'aime pas islamiste) de AYADI. A la fin, on comprend pas leurs prises de positions, et donc ils ne sont pas aptes pour moi pour gouverner. En plus la version light de leurs programmes m'a fait rire, ils veulent détruire ce qui reste dans l'enseignement de ce pays: Ils veulent enseigner les matières scientifiques en arabes à tous les niveaux. Un dernier point, Marzouki est malade par le pouvoir (tout comme Chebbi) et ca constitue pour moi un danger, on risque de créer un nouveau dictateur.

Le reste n'est pas énorme entre Chokri elouaer et des listes qui vont récolter 100 votes ou des partis de décors, les trois personnalités crédibles qui restent que j'ai choisi avec un ordre provisoire comme suit:
- Samir Bettaieb: un spécialiste de droit constitutionnel, un bon orateur, il maitrise sa problématique et il est très poli pour un politicien. Ses positions pour la partie constitutionnel sont claires et loin de tout dogmatismes. Je sais qu'ils perdront pour l'égalité des sexes mais ce n'est pas la partie la plus importante à mes yeux pour la constitution.
- L'ancien juge Mokhtar Yahyaoui: Un ancien juge, et un opposant, une grosse tête qui peut contrer les dérapages des uns et d'autres, il peut garantir le respect des libertés dans la constitution. Son léger défaut: J'ai des soupçons sur des proximités fortes avec Ennahdha.
- L'avocat Abdelaziz Mzoughi: Alors là aucun soupçon de proximités avec personne même avec lui même, une grande gueule, l'ennemi intime de Abdelfattah Mourou est un contre-poids à lui seul, il peut bloquer l'AC en cas de mauvaise piste et n'est pas le genre de se cacher derrière les compromis mou ( l'opposé de MBJ). Son principal défaut c'est qu'il risque de ne pas avoir suffisamment de votes pour passer.

Donc un choix de trois juristes, en attendant de voir pour la suite comment ira la campagne électorale. Je n'exclue pas que je vais changer d'avis ou j'ajouterai d'autres listes ou j'élimine une mais pour moi ca restera un scrutin sur une tête de liste et pas une liste complète puisque je prévois que -au moins sur Tunis 1- tout le monde passera avec moins de 11% des votes recuis et ne passeront qu'avec le plus grand reste.

P.S: Pour ne pas vexer les autres partis, vous n'existez pas pour moi, trop petits pour avoir une chance de gagner un tabouret dans l'AC.

dimanche 11 septembre 2011

Tunis 1 et Tunis 2, la quete des 3%

Ce que j'écris, je l'ai réfléchis pour les circonscription de Tunis 1 et Tunis 2 mais il peut être étendues ailleurs si le même phénomène est observé.
Sur tunis 1 et 2, nous avons respectivement 80 et 81 listes candidates (avant la validation finale) de 9 et 8 places chacune.

Ca fait théoriquement, 9 ou 10 listes candidates qui se disputeront un siège. Nous pouvons simplifier la réflexion et dire -arbitrairement après la validation finale des listes- que 8 listes disputeront un siège (72 et 64 listes).

Sachant que pour avoir un siège, il faut avoir 11.11% et 12.5% des votes exprimés (quotient électoral) et que le pourcentage moyen des listes sera légèrement supérieur à 1. Ce pourcentage moyen chutera à chaque fois qu'il y'a une liste qui a arrivera au quotient électoral, elle laissera moins de miette à partager entre les autres.
Des partis comme Ennahdha, PDP, PDM, FDTL ou Mourou à Tunis 2 auront la possibilité d'atteindre ce quotient ou de s'en approcher, d'autres listes indépendantes et de petits partis ne pourront pas et pour chaque 1% réunis par les grand tenors au dela du pourcentage théorique ce sont des petits 0.1% qui seront enlevés aux petits, et c'est pas la faute des ténors ...
Le système fera que pour certaines listes un score de 3% sera extraordinaire, il permettra déjà de ne pas rembourser la subvention et peut être que les 3% pourraient être suffisantes pour accéder à un siège avec le plus gros reste.

je ne vais pas faire un modele mathematique mais sur 70 listes, si 40 auront 1% et 20 auront moins de 1% et totaliseront ensemble 10% des votes ca nous fera 60 listes avec 50% et restera à des listes le partage des autres 50% ca me parait logique.
Dans une telle configuration, il se peut que le quotient électoral ne sera pas atteint mais que les restes seront proches de 4-10% assureront le passage des 8 ou 9 listes en têtes.

Ce scénario n'est pas le même partout en Tunisie mais favorisera les grands partis et certaines listes indépendantes avec une grande notoriété. Des partis comme Ennahdha, PDP, PDM et FDTL peuvent être assuré de passer leurs têtes de listes un peu partout (le second aura la vie plus dur).

Cette configuration donnera un poids plus grand aux petites circonscription qui joueront le rôle de l'arbitre (et peut être s'annuleront d'effet), sur 4 sièges certains parmi les grands partis n'auront pas de place pour passer, en Allemagne un seul passera ... la majorité se jouera sur des détails.

Reste un paramètre non négligeable est que les petites listes vont puiser dans le réservoir de qui ? A mon avis, le PDP sera le plus touché par la succession de scission qu'il a eu, et ensuite Ennahdha parce que il y'a pas mal d'indépendants du courant conservateur (c'est mieux qu'islamiste) qui ne vont pas l'empêcher de passer leurs têtes de listes mais vont les empêcher de faire un score de Gala.
Ettakatol a récupérer une bonne partie des indécis -ayant le même comportement de Mustapha Ben Jaafar (j'ai pas pu m'empêcher)- et une partie de l'électorat déçu de Ettajdid, PDP et surtout CPR.

Ma réflexion a débordé et pour résumer : les 3% seront l'objectif de chaque liste pour ne espérer d'avoir une chance pour la tête de liste et pour ne pas rembourser les 50% de la subvention.

Je m'attends aussi à une succession de retrait de listes -avant les délais légaux- de personnes -qui pour une raison ou une autre- ont compris que c'est impossible ou injouable.

D'aprés ma lecture personnelle je m'attends à une assemblée constituante  composée de 70% (entre Ennahdha, PDP, PDM, FDTL), 20% (CPR, POCT, Ex-RCD, Et Mourou & Co) les 10% seront partagés entre les autres indépendants, les partis minuscules (UPR, UPL, PLM, PJD, ...).

N.B: 
Il se peut que dans mon analyse j'ai sous-estimé le CPR et les ex-RCD et sur-estimé le PDM.
1% dans l'AC c'est un peu plus de 2 sièges. 

samedi 27 août 2011

Et si SLIM RIAHI était un fake?

J'observe un peu comme tout le monde la montée fulgurante de l'UPL. Et j'accompagne cette observation d'un certain nombre de question:
-D'ou il est sorti ?
-Qui est derriere ce parti ?
-C'est qui ce slim Riahi?
-D'ou se finance ce parti ?
-Pourquoi en Aout et pas en Mars?

Sortie de nul part, L'UPL dispose d'une force financière incroyable, argent qui coule à flot, spot publicitaire, corruption active des électeurs avec les couffins de ramadan (il participe activement avec les autres partis telque Ennahdha et PDP au pourrissement de la vie politique)... d'où sort cet argent? on nous dit que c'est grâce à Slim Riahi (homme d'affaires) qui est présenté comme une victime de bourguiba et de ben ali !!!

Ils nous ont dit qu'il a 39 ans (né en 1972), ils nous ont dit que son père est youssifiste et victime de la répression de Bourguiba et il a quitté la Tunisie jeune avec sa mère !! Alors que la purge des youssifistes a eu lieu dans la fin des années 50 et au début 60. Je trouve une incohérence par rapport aux histoires qui j'ai entendu par ses sbires. C'est un personnage qu'on essaye de lui créer une histoire de toute pièce.

Avant d'entendre parler de ce Slim Riahi et juste après le démarrage de la campagne publicitaire, j'ai appris (d'une source fiable pour moi) que ce parti a contacté une imminente personnalité publique tunisienne pour avoir un poste de responsabilité dans ce parti avec des avantages dignes d'un PDG d'une banque. Cette personnalité a refusé la proposition. A vrai dire, s'il a accepté il aurait donné du crédit à leurs plans.

Entre temps, on nous parlai de Mourad Koubaa président du parti qui est sorti de nul part et à disparu avec la même vitesse de son apparition.

Donc ce parti est entrain de chercher un visage d'ancrage, il n'est pas comme Ennahdha ou le PCOT qui ont une idéologie, Ettajdid qui a une histoire, PDP ou le CPR qui ont des leaders de premier plan, Watan ou Moubadra qui ont assez de .... derrière eux. Un parti qui n'a ni programme, ni leader, il se contente pour le moment de l'argent.Ca suscite des questions dont la principale est si ce Slim Riahi est un fake ?


Je me permet de dire que Slim Riahi est un fake/une facade/une marionnette que l'agence de communication essayent de nous vendre comme un rêve. Le reve du : "le tunisien opprimé qui est parti à l'étranger avec sa famille et qui a réussit ... revient aujourd'hui pour servir son pays via son parti politique et son argent" les histoires des feuilletons égyptiens et mexicains ne m'impressionnent pas.

Une information que j'ai eu hier et qui est à vérifier est: que plusieurs "militants" du parti WATAN ont changé la veste pour devenir UPL.

UPL essaye de faire le jackpot en vue de la constituante, il part en retard avec des aprioris négatifs de l'une des deux :
- soit qu'il a derrière lui des intérêts assez importants pour qu'ils perdurent dans le temps ... et à ce moment l'AC n'est qu'une étape.
-soit que c'est un coup de prince charmant et le mec soit qu'il va mettre sur la table à chaque fois des sommes vertigineuses pour acheter des voix ou des alliances soit il va jeter l'éponge rapidement.

Lundi, il nous dira ses sources de financement, ca serait son premier test de crédibilité wait and see.

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